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Swati Srivastava, Lauren Muscott, How to Hold Unjust Structures Responsible in International Relations, International Studies Quarterly, Volume 65, Issue 3, September 2021, Pages 573–581, https://doi.org/10.1093/isq/sqab068
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Abstract
Recent public discourse and political theory center on “structural” approaches of assigning responsibility for injustice in contrast to an “interactional” perspective. The interactional approach corrects discrete harms between agents to return to a just baseline, whereas the structural approach casts a wider net implicating agents in harmful structures for systemic transformation. This theory note advances the understanding of structural responsibility in international relations by defending it against common critiques of underspecification and lack of targeted accountability. We argue that structural arguments are better understood as constituting a framework on the nature of injustice rather than a theory or descriptor of particular harms. We present a “framework, theory, action” heuristic, drawing from constructivism's evolution from a theory (like realism and liberalism) when it first appeared to a framework (like rationalism) more recently. Our framework heuristic makes available a fuller range of conceptual tools to hold unjust structures responsible, including through targeted blame and liability, and discards the need to invent new actions to discharge structural responsibility. Rather than settle on one definition of structural responsibility—what it means, where it is located, and how it is discharged—we direct scholars to the numerous ways structural responsibility may be theorized and enacted.
El discurso público reciente y la teoría política ponen en el centro los enfoques “estructurales” de asignar la responsabilidad de la injusticia en contraposición a una perspectiva “interaccional.” El enfoque interaccional corrige los daños discretos entre los agentes para regresar a un punto de referencia justo, mientras que el estructural despliega una red más amplia que involucra a agentes en estructuras dañinas para la transformación sistémica. Este artículo teórico promueve el entendimiento de la responsabilidad estructural en las relaciones internacionales (RI) defendiéndola contra las críticas comunes por infraespecificación y falta de responsabilidad dirigida. Sostenemos que los argumentos estructurales se entienden mejor como constituyentes de un marco sobre la naturaleza de la injusticia más que como una teoría o un descriptor de los daños particulares. Presentamos una heurística de “marco, teoría y acción,” basada en la evolución del constructivismo de la primera aparición de una teoría (como el realismo y el liberalismo) a un marco más reciente (como el racionalismo). La heurística de nuestro marco proporciona una variedad más completa de herramientas conceptuales para hacer responsable a las estructuras injustas, incluso a través de la culpa y la obligación dirigidas, y descarta la necesidad de inventar nuevas medidas para cumplir con la responsabilidad estructural. En lugar de fijar una definición de la responsabilidad estructural, es decir, lo que significa, dónde se encuentra y cómo se cumple, dirigimos a los académicos a las numerosas maneras en que la responsabilidad estructural puede teorizarse y representarse.
Le discours public récent et la théorie politique se concentrent sur des approches « structurelles » de l'attribution de la responsabilité des injustices au lieu, au contraire, d'adopter un point de vue « interactionnel ». L'approche interactionnelle corrige les nuisances discrètes entre agents pour revenir à une base juste alors que l'approche structurelle jette un filet plus large impliquant les agents des structures nuisibles pour une transformation systémique. Cet exposé théorique fait progresser la compréhension de la responsabilité structurelle en relations internationales en la défendant contre les critiques courantes de sous-spécification et de manque de responsabilité ciblée. Nous affirmons que les arguments structurels sont mieux compris comme constituant un cadre sur la nature de l'injustice plutôt qu'une théorie ou un descripteur de préjudices particuliers. Nous présentons une heuristique « cadre, théorie, action » s'inspirant de l’évolution du constructivisme, qui est passé d'une théorie (comme le réalisme et le libéralisme) lors de sa première apparition à un cadre (comme le rationalisme) plus récemment. Notre cadre heuristique met à disposition une gamme plus complète d'outils conceptuels pour tenir les structures injustes pour responsables, y compris par le biais d'accusations et de responsabilités ciblées, et écarte le besoin d'inventer de nouvelles actions pour décharger la responsabilité structurelle. Plutôt que de se contenter d'une seule définition de la responsabilité structurelle—ce qu'elle signifie, où elle réside et comment elle est déchargée -, nous orientons les chercheurs vers les nombreuses façons dont la responsabilité structurelle peut être théorisée et mise en œuvre.